Dans le premier article qui concernait ces deux types de chances – le coup de pot et la chance qu’on provoque – nous avons vu qu’il faut cultiver certaines attitudes afin de dégoter des opportunités et des situations favorables. De cette manière, si la chance passive permet à certains de gagner à l’Euromillion, la chance psychologique permet d’établir un mode de vie porteur.
Parmi les attitudes porte-bonheur, la première consiste à établir une direction, un objectif vers lequel tendre. La deuxième consiste à être à l’écoute du monde, à adopter une position d’ouverture et de disponibilité maximale. Explorons nos deux dernières astuces : transformer sa malchance et cultiver son réseau.
Deux attitudes porte-bonheur
- N’allez pas croire que les individus chanceux sont épargnés par les mauvais coups de la vie, les « tuiles », comme on dit. Seulement, ils savent les traiter en cherchant à voir ce qu’ils peuvent en tirer de positif. Au lieu de rester pris dans la colère ou le ressentiment, ils se questionnent, relativisent et recyclent leur déveine en expérience. Ce qui leur permet de continuer d’avancer avec le savoir qu’ils ont extrait de ladite « tuile ».
- Pour terminer, pensez à la manière dont vous appréhendez la relation avec l’autre. Les gens les plus chanceux ont tendance à s’attendre naturellement à une interaction fructueuse avec autrui. S’inscrire dans une dynamique d’échange et de solidarité assure de s’inscrire dans un vivier d’opportunités positives, mais aussi de donner plus de sens et d’ampleur à sa vie. Car les contacts, en plus de faire office de réseau, sont aussi des sources d’enrichissement humain.
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