S’éloigner du profil dépensier qui flambe tout son argent pour assouvir sa demande d’achat compulsif, c’est le pari de certains gagnants, même après avoir empoché des millions. Et vous, après avoir gagné le jackpot, que feriez-vous ? Partagez votre avis sur SuperChance100.
Le sens du partage
C’est en 2008 qu’en Charente, dans le village de Saint-Michel, un joueur empoche cinquante millions d’euros. Ni une ni deux, il partage 400 000 euros avec le maire pour la création d’un espace culturel et pour rattraper les dettes des maisons de retraite. Depuis 2009, le gagnant paye chaque année les cartes de cantine de tous les enfants de son village.
En 2010, une joueuse anonyme, auparavant accueillie par les Restos du cœur, gagne cinq millions d’euros. C’est naturellement qu’elle attribue un don important à l’association qui l’a soulagée plus tôt, sans que le montant soit dévoilé, sûrement par humilité.
Les grilles de l’euromillion font des miracles à Nice en Novembre 2012. Un vainqueur de 169 millions d’euros, dans le quartier de la Trinité, crée une fondation caritative à l’aide d’une dizaine de millions d’euros pour financer des projets solidaires.
Dans la région de Boulogne-sur-Mer, dans le Nord de la France, une habitante gagne 26 millions d’euros en avril 2013. À l’époque aidée par la Croix Rouge, elle soutient à son tour l’association en donnant un an plus tard une somme qui apaisera ceux qui vivent en situation précaire.
Le dernier en date, c’est un super gagnant de Haute-Garonne qui gagne 72 millions d’euros en janvier 2014. Il décide de faire don des trois-quarts de sa fortune, c’est-à-dire cinquante millions d’euros, à une dizaine d’associations d’ampleur nationale.
De quoi s’appuyer sur de bons exemples. Alors, à qui le tour ?