Dans la première partie de cet article, nous nous sommes basés sur l’étude réalisée par le professeur britannique Richard Wiseman intitulée « On being lucky: The psychology and parapsychology of luck ». En français, cela donne « Êtres chanceux : psychologie et parapsychologie de la chance ».

Cette étude montre que ce l’on appelle la chance – soit l’observation d’événements positifs et bénéfiques dans sa vie – est davantage une question de point de vue qu’une fatalité dictée par on ne sait qui. Cela vous donne-t-il envie de croire que vous êtes un futur gagnant de l’Euro Millions et de tenter votre chance ?

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On peut considérer qu’aucune force supérieure à soi n’interfère dans ce processus. Vous ne pourrez plus vous en prendre au « cruel destin » qui s’acharne sur vous. Si vous lisez cet article, vous serez contraint de prendre conscience que vous êtes l’acteur et non le spectateur de votre existence, et qu’il vous appartient d’agir.

Changement de cap

À ce propos, dans l’étude du docteur Wiseman, 80 % des sujets malchanceux qui ont appris à se comporter en sujets chanceux ont reconnu être plus heureux, plus satisfaits de leur vie et chanceux, effectivement. Certains ont même révélé que leur malchance « avait disparu ».

Leur changement de comportement n’était pas compliqué. Il consistait à s’attendre à avoir de la chance et à ne pas s’attarder sur des choses négatives.

Le changement passe aussi par la gestion du temps. Il apparaît que les gens chanceux en profitent, l’optimisent. Ils répondent à leurs mails et ne repoussent pas cela à plus tard. Ils se rendent à des rendez-vous socialement et professionnellement intéressants et entretiennent leur réseau, même si cela demande du temps et de l’énergie. Globalement, les chanceux ne laissent pas filer une opportunité, ils la saisissent.

Allez-vous saisir celle de jouer à l’Euro Millions avec la Formule Flex ?