Selon certains psychologues, il y aurait deux types de chanceux : ceux qui bénéficient d’un « coup de chance » et gagnent à l’Euromillion ; et ceux qui provoquent et cultivent leur chance. Si le premier schéma est difficilement prévisible, le second se travaille.
On pourrait les différencier en les nommant « chance passive » et « chance psychologique ». La seconde est le fruit d’un positionnement volontaire et conscient. Les psychologues ont observé qu’elles ont cinq points en commun : la bonne rencontre au bon moment, l’info qui tombe à pic, l’ouverture à de nouvelles perspectives, la demande inattendue et l’incident providentiel. Pour rester veinard, il faut travailler le terreau qui permettra aux bonnes graines de germer.
Deux attitudes porte-bonheur
- Dans un premier temps, il faut clarifier son intention. La machine à chance doit être programmée dans une direction bien établie pour fonctionner. En clair, il faut réussir à cerner son désir, à savoir dans quel sens on aimerait déployer sa vie. Il s’agit ensuite d’affiner ses attentes et de les rendre concrètes pour nourrir son intention en lui donnant corps, construisant ainsi son parcours de chance.
- Il faut se rendre disponible. Cela consiste à se placer intérieurement dans une posture d’ouverture et de disponibilité maximale quant aux événements qui se déroulent autour de soi. C’est une attitude globale d’éveil et de vigilance qui rend plus apte à dresser l’oreille, à sentir l’intérêt de telle prise de contact. C’est de cette manière que les occasions favorables se multiplient. Notez que reposer son esprit régulièrement permet de laisser émerger son intuition. Cela aide à sortir des chemins de la routine et de la pensée automatique, deux adversaires de la chance.
Découvrez d’autres attitudes porte-bonheur dans le prochain article sur la chance durable.