La solidarité, chez SuperChance100, c’est la base même de l’activité déployée. En proposant à des joueurs de l’Euro Millions de s’assembler en groupe de 150 pour participer à des centaines de grilles à moindre coût et, éventuellement, partager les gains, on s’appuie sur une forme de solidarité. Évidemment, chez les joueurs de l’Euro Millions, il y a ceux qui suivent la devise « Nec pluribus impar » et ceux qui préfèrent « Unus pro omnibus, omnes pro uno ». On vous parle chinois ? Non, latin.
Nec pluribus impar, seul contre tous
Cette devise est devenue officiellement celle du roi Louis XIV, et d’après l’historien Édouard Fournier, c’était un peu par hasard, un peu forcé que le Roi Soleil l’avait adoptée. La faute à son médailliste Louis Douvrier, réputé pour trouver les bons mots et les bonnes gravures (l’art héraldique battait son plein à l’époque). Pour enluminer à l’image du roi un carrousel au cœur de Paris, il a choisi ces trois mots latins empruntés à Philippe II (roi d’Espagne, de Naples, de Sicile, du Portugal et d’Angleterre, et des territoires en train d’être découverts aux Amériques. C’est à peu près tout) et l’image du visage royal rayonnant. Pour assurer le buzz (le roi n’aimait pas), Douvrier partage son éclair de génie avec la Cour et le roi est bien obligé de voir que ça plait, malgré l’immense prétention que cela sous-entend. D’après Fournier et Pierre Larousse (un autre historien), Louis XIV le comprenait comme « Je suffis à plusieurs mondes, je suffis à éclairer plusieurs mondes, je suis au-dessus de tous ». On ne sait pas si c’est cette anecdote qui l’a placé sur la pente de la mégalomanie, le fait est qu’il a adopté l’ensemble : la devise, le symbole, et le personnage du Roi Soleil.
Tous les historiens ne sont de toute façon pas d’accord sur le sens de la devise, qui signifie littéralement « Non inférieur à plusieurs » ou « Non égal à plusieurs ». On y trouve bien le caractère unique de celui qui l’adopte, qu’Onésime Reclus valide en le traduisant par « À nul autre pareil ». Yves-Marie Bercé l’explique en nuance : « Suffisant à tant de choses ». En somme, cette expression peut être traduite dans de nombreux sens, parfois opposés.
Les joueurs de l’Euro Millions Nec pluribus impar façon Louis XIV ont ainsi du mal à comprendre l’intérêt de jouer en communauté. Ils voient le jeu de hasard comme la main du destin : s’ils gagnent, c’est bien qu’ils sont supérieurs aux autres, ils sont élus. Partager ? Quelle idée !
Unus pro omnibus, omnes pro uno (oui, les Mousquetaires)
Cette devise-là est beaucoup plus simple à comprendre : un pour tous, tous pour un. C’est sans équivoque. Ça se prête aussi concrètement à la façon de jouer proposée par SuperChance100. Alexandre Dumas la place dans la bouche de D’Artagnan, mais à l’envers (Tous pour un, un pour tous) en 1844. Les Suisses la considèrent comme leur devise nationale mais non officielle, et ce depuis 1868, quand elle apparait sur des affiches d’appel au don après des inondations. Elle traduit le sentiment de solidarité qui unit le peuple suisse.
Ainsi, si vous êtes membres de SuperChance100 par abonnement ou avec la formule Flex, il se peut fort que cette devise vous plaise plus que la première. En effet, l’intérêt réside dans la victoire, et s’il y a plus de chances d‘y arriver à plusieurs, alors jouons ensemble !
On s’arrête là pour le latin et ses deux expressions opposées sur la solidarité. À très vite pour un nouveau sujet enrichissant sur l’univers Euro Millions !