Les histoires de cœur, un vaste sujet qui semble ne jamais s’essouffler. Pourtant, le cœur ne semble absolument pas responsable du sentiment d’aimer. Il faudrait plutôt remonter au cerveau pour comprendre comment cela fonctionne. Les chroniqueurs de SuperChance100, votre communauté de jeu pour remporter l’Euromillion, se demandent si la chance ne serait pas un composant essentiel pour trouver l’amour.
Amour, amour, je t’aime tant
L’homme est avide d’amour, de désir et de passion. De toute époque, on retrouve de nombreuses empreintes sur le sujet laissés par des poètes, peintres, écrivains, chanteurs et cinéastes. La science à même son point de vue sur les composants capables de faire éprouver de l’amour. Le mystère est entamé mais l’histoire garde tout son charme et sa fraîcheur.
Ce rêve bleu
Plusieurs études ont démontré que l’amour résulte d’une alchimie très particulière du cerveau. Lorsque le sentiment d’amour ou de désir est éprouvé, le cerveau s’emballe et sécrète de la dopamine et de la noradrénaline. Cette quantité intense d’hormones lâchée dans le cerveau a pour effet de rendre le sujet particulièrement vigilant et excité. De plus, le fait que ces neurohormones retiennent toute l’attention sur un événement particulier fait oublier le reste momentanément, même le sentiment de tristesse. Le corps est en alerte et redouble d’astuces pour enivrer le sujet sur son doux nuage.
Jusqu’à ce que la mort vous sépare
Le rythme cardiaque s’accélère (ce phénomène est sans doute à l’origine de l’allégorie de l’amour symbolisé par un cœur). Le sang se charge de cortisol qui a lui aussi pour effet de concentrer l’attention et de faire oublier la douleur. Enfin, plusieurs noyaux de l’encéphale vous retournent le ciboulot en produisant de l’ocytocine et de la vasopressine en masse. Ces hormones sont responsables respectivement de l’attachement et de l’excitation sexuelle dont résulte une baisse d’anxiété (allez donc dire ça aux jeunes hommes qui bégayent, les mains moites, incapables de prononcer une phrase devant l’être aimé). Cette chimie, qui se met en place en une fraction de seconde, peut perdurer pendant des années contrairement à ce que peuvent penser certains pessimistes.
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