Pour éviter les situations suivantes, rien de tel que de faire confiance à une société spécialisée, comme SuperChance100, pour prendre en charge la récolte et le partage des gains à l’Euro Millions. En effet, le jeu en communauté est plus fréquent qu’on le pense, mais il est parfois source de problèmes quand il est organisé par des amateurs.
Aux USA en 2012, le Mega Millions a été remporté par trois personnes, ce qui est normal pour cette loterie. Ce qui l’est moins, c’est que l’une de ces personnes était censée jouer pour plusieurs de ses collègues, mais qu’elle a tout empoché sans rien partager. La gagnante maintient que ce billet-là n’est pas celui qu’elle a joué pour le groupe, les autres trouvent cela très louche et l’ont assignée au tribunal.
En France aussi, la justice a dû partager des gains mal acquis. En 2011, un joueur patenté d’un PMU a emprunté 20 euros au patron pour jouer à l’Amigo (le mal nommé dans ce cas). En tant qu’ami (du moins jusque-là), le patron a spécifié que s’il gagnait, ils devaient partager mais que si cela ne donnait rien, il n’aurait qu’à lui rendre 10 euros sur les 20. Le ticket a permis de remporter un million, mais le joueur n’a pas voulu partager. Au tribunal, le juge a estimé que le patron avait droit à ses 500 000 euros.
En 2005 déjà, trois retraités avaient joué ensemble au Loto, faisant une cagnotte pour miser sur plusieurs tickets que Justin a partagés entre eux. L’un d’eux a rapporté 874 000 euros mais celle qui l’avait en garde, Suzanne, a conservé la totalité du butin. Monique et Justin l’ont plutôt mal pris, et s’en est suivi un procès de cinq ans, gelant deux tiers du gain, terminé par un non-lieu après le décès de Suzanne. Les héritiers de celle-ci ont donc tout récupéré, et doivent aussi obtenir les 200 000 euros d’intérêts gelés le temps du procès par les deux plaignants malheureux.
Au vu de telles histoires, il vaut mieux laisser un système neutre et impartial s’occuper des grilles d’Euro Million, comme avec SuperChance100.